Et s’il n’en reste qu’un.
Et s’il n’en reste qu’un
Je serai celui-là
Tu peux me regarder
Mais pas souffrir autant que moi
Je serai celui là
Et compte bien… le rester.
A force de murmures
On finit par lancer
Tant de mots et d’injures
Si difficiles à oublier
Mais toi, tu t’es sauvé
Et compte bien… le rester.
c’est ma ville.
Je vois le sablier
Tout ce temps écoulé
J’pensais qu’ce serait arrangé
C’est tout c’que j’espérais
Ma vie n’est pas finie
Elle tourne au ralenti
Je voudrais partir d’ici
Aidez-moi je vous en prie
Refrain :
Ici, dans la lueur d’espoir qui m’avait guidé
Ici, dans la fureur et dans le bruit
D’un monde en déclin, j’ai voulu tenter l’impossible
Tout faire pour effacer l’inadmissible
C’est ma ville
Je voulais l’imaginer
Plus tranquille, moins fragile
Immeubles délaissés
Chômage démesuré
Je pourrais pas m’en vanter
Au journal télévisé
Ma ville est abîmée
Comment la réparer ?
Je pourrais p’t’être l’échanger
Contre le village d’à côté
Je marche seul dans la ville
Je marche seul dans la ville
Je marche, et tout est tranquille
Mais j’vois pas… c’qui pourrait vraiment m’arriver
J’déambule dans la grande cité
Le temps parait immobile
Mais la nuit, je m’sens moins fragile
Il y aura des interférences obligées
A quoi bon tout recommencer
Ma mémoire est faillible
Elle m’a laissé tomber
Mais ce défi impossible
Je n’l’ai pas oublié
Tous les 5 ans… A midi, sonnant (amis dissonants)
Devant la cathédrale, j’entendrai vos fous rires
Se retrouver tous là, comme avant
On a pris rendez-vous pour les siècles à venir
Les murs n’sont plus à leur place
Il y a eu un changement de taille
J’suis perdu dans un passé décomposé
A quoi bon tout recommencer
Je marche seul dans la ville
Je marche, et tout est tranquille
Mais j’vois pas… c’qui pourrait vraiment m’arriver
J’déambule dans la grande cité
Ma mémoire est faillible
Elle m’a laissé tomber
Mais ce défi impossible
Je n’l’ai pas oublié
on n’est pas des fous !
(version définitive)
on n'est pas des fous !
mais on voudrait tout
on voudrait gagner
le droit de cité
sans arrêt meurtris
Par les hasards de la vie
Sans arrêt freinés
Dans l’envie de progresser
Dire qu'on aurait pu
Construire nos vies dans la rue
Dire qu'on a vécu
Dans cet espace incongru
Tant d'années passées
À tenter de s'intégrer
Nos vies sont cassées
Il faut tout recommencer
REFRAIN : C’est le chemin de la vie
Suivez-vous, on a tout compris
On cours vers l’infini
L’infiniment petit
Il faut un jour partir pour tout reconstruire
On s’était enfuis
Pour changer de vie
On voulait créer
Un univers parfait
Banlieue malfamée
Cité en danger
Laissez nous respirer
On voudrait vivre en paix
Sans arrêt meurtris
Par les hasards de la vie
Sans arrêt blessés
Conditions Désespérées
On va tout quitter
On va tout abandonner
Les jours sont comptés
Et nos espoirs envolés
Toi, la ville
(version définitive)
Regardez bien la ville
Elle nous attend, elle est pour nous
Il faut tenter le coup n'importe où
D'un destin si fragile
Volerons-nous vers nos rêves les plus fous
Il faut réussir par dessus tout
REFRAIN : toi la ville as tu peur de nous
Des comme toi on en a vu partout
Pourrons-nous grandir sans souffrir
On n'a plus la force de fuir
Capitaine, attention
Des dangers planeront sur la mission
Tentons de trouver des solutions
Si nous avons raison
Pourrons-nous déchainer les passions
Des idées neuves et des émotions
(au refrain)
j'pouvais pas penser
qu'on vivrait séparés
Mais ensemble on va gagner, c’est vrai
Lendemain certain, en partant de rien ?
Il est temps d’entrevoir
Rien qu’un soupçon d’espoir
Je me sens bien parmi vous
Même si le dessein est flouQuotidien sans lendemainM’a poussé à changer de train
TOUS
Et on ira malgré tout
Et on criera qu’on s’en fout
Qu’on peut rêver l’avenir
Refuser que tout doit finir
D’un pari fou, nous verrons
L'Irrésistible ascension
Des vies en contrefaçon
C'est l’aube d’une révolution
Reprise mélodie 1 :
Il faut changer l’histoire l’histoire
Décider d’autre chose, tout revoir
Refaire le scénario comme il faut
Comme on a tout râté
Ce serait con de tout abandonner
Remettre tout en jeu et gagner
(refrain)
